Lettre de Macaire à Bertrand.Pour faire suite à L'AUBERGE DES ADRETS.
Suit la lettre que chacun a pu lire dans les journaux et dans laquelle, après avoir osé et abusé dune façon grotesque du pronom possessif, MES VOISINS, MON ARMEE, MA FLOTTE, MA MARINE A VAPEUR, Lemaître, affublé du taffetas impérial, débite des phrases comme celles-ci : Lord Palmerston me connaît, et quand jaffirme une chose, il y croira. Entendons-nous de bonne foi, comme des honnêtes gens que nous sommes, et non comme des voleurs qui désirent se tromper lun lautre. Il faut que lord Palmerston soit un bien bon gendarme sil laisse passer, sans tenter de larrêter, cet industriel couronné qui a eu des malheurs en justice sous le gouvernement de Louis-Philippe, et qui en aura quelque jour devant les assises populaires, nen déplaise à Bertrand-Persigny. |
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