La Revue Icarienne. Une remarque que je faisais dernièrement tout bas, et que jaurai lindiscrétion de répéter tout haut, cest que jai constamment adressé le LIBERTAIRE à la REVUE ICARIENNE, soit par la Poste, soit par lentremise du citoyen Bd de Saint-Louis, et que jamais, au grand jamais, je nai reçu en échange la feuille communiste. La REVUE aurait-elle cessé de paraître ? ou bien, le Directeur-Président, le successeur de Cabet, aurait-il, avec le sceptre, hérité de lantipathie du Père-créateur pour les idées subversives de toute oppression et de toute servitude ? Quand on nest pas "le Neveu de son Oncle," rien détonnant à ce que lon soit "le Fils de son Père." |